Notre vitalité dépend essentiellement de notre alimentation ; elle doit être naturelle, équilibrée, mesurée, digeste et individualisée.
Cela signifie qu'il n'y a pas une manière unique de s'alimenter qui conviendrait à tout le monde, chacun fait son expérience pour découvrir ce qui lui convient le mieux.
Le naturothérapeute est là pour vous y aider. La littérature sur la question est abondante.
A votre attention, j’ai sélectionné quelques livres que j’ai particulièrement aimés, tous sont fondés sur la physiologie humaine ; ils peuvent vous éclairer à faire le bon choix alimentaire. Les voici présentés en quelques lignes, je vous encourage à les lire…
- La « Diététique de l’expérience » dans ce livre Robert Masson qui est l’un des pionniers de l’hygiène alimentaire et le premier à personnaliser le réglage alimentaire, fait la lumière dans la jungle des systèmes et régimes. Pour lui, il y a trop de victimes des systèmes extrémistes comme le crudivorisme, le végétalisme, les régimes « dissocié » et macrobiotique, etc. Le public assiste désarmé à toutes ces enchères et contradictions. Pour moi, l’analyse et les propositions pleines de bon sens de Robert Masson, se recoupent avec une alimentation qui satisfasse le bon équilibre des hormones. Disons qu’en règle générale, il faudrait rechercher l’allègement digestif et métabolique dans la réduction globale des glucides alimentaires sans exclusion d’aucun aliment. Voila un point de départ pour des conseils alimentaires individualisés en fonction de votre histoire personnelle…
- « L’alimentation ou la troisième médecine » est le best-seller du Dr Jean Seignalet (1936-2003) qui recommande pour les maladies d’origine auto-immune (comme la polyarthrite rhumatoïde) et les maladies dégénératives de notre civilisation (comme le diabète), un régime basé principalement sur la consommation d’aliments crus, sans lait ni laitages, et sans gluten. C’est un régime assez simple à appliquer mais il doit l’être avec rigueur si l’on veut obtenir des résultats. Sa méthode fait le lien entre médecine traditionnelle (1ère médecine) et médecine douce (2ème médecine), en devenant une voie alternative (3ème médecine), bien moins coûteuse et plus respectueuse de la physiologie de l’appareil digestif, que les traitements allopathiques actuels. Les résultats étonnants et cliniquement constatés chez les nombreux patients soumis à cette méthode, auraient même pu imposer le changement du titre de cet ouvrage en : « l’alimentation, ou la première médecine ! ».